dédit
8e édition
DÉDIT.
n. m.■
Révocation d’une parole donnée. Avoir son dit et son dédit, Être sujet à se dédire, à se rétracter, à changer aisément d’avis.
Il signifie plus ordinairement Peine stipulée dans un marché, dans une convention, contre celui qui n’en remplira pas les conditions. Un dédit est le plus souvent une somme à payer. Stipuler un dédit. Convenir d’un dédit. Il y a dix mille francs de dédit. Payer le dédit.
Il s’applique, par extension, à l’Acte même où se trouve stipulée la peine, l’indemnité encourue par celui ou celle qui se dédira. Le notaire qui avait rédigé le dédit en demeura dépositaire. Les deux parties s’étant arrangées, on déchira le dédit.
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VOISINAGE ALPHABÉTIQUE
- dédain, n. m.
- dédale, n. m.
- dédamer, v. intr. [8e édition]
- dedans, prép., adv. et n. m.
- dédicace, n. f.
- dédicacer, v. tr.
- dédicataire, n.
- dédicatoire, adj.
- dédier, v. tr.
- dédire, v. tr. et pron.
- dédit, n. m.
- dédommagement, n. m.
- dédommager, v. tr.
- dédorage, n. m.
- dédoré, -ée, adj.
- dédorer, v. tr.
- dédouanage, n. m.
- dédouanement, n. m.
- dédouaner, v. tr.
- dédoublage, n. m.