zèle
5e édition
ZÈLE.
sub. mas.■
Affection ardente pour quelque chose. Il se dit principalement à l’égard Des choses saintes et sacrées. Zèle pour la gloire de Dieu. Zèle pour la Foi, pour les choses saintes. Le zèle du salut des âmes. Le zèle de la Religion. Le zèle des Autels. Le zèle de la Maison de Dieu.
On dit en termes de l’Écriture, Le zèle de la Maison de Dieu le dévore, pour marquer Un zèle extrême pour le service de Dieu.
On appelle Zèle indiscret, zèle inconsidéré, Un zèle qui n’est pas réglé par la prudence ; et Faux zèle, zèle aveugle, Un zèle mal conduit, mal entendu, ou qui n’a pas pour objet la véritable Religion : et par opposition, on dit, Zèle prudent, zèle éclairé.
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Zèle, se dit aussi De ce qui regarde certaines obligations principales de la vie civile. Le zèle de la patrie. Le zèle pour la patrie. Zèle pour le bien public. Avoir beaucoup de zèle pour son Prince, pour le service de son Prince. Témoigner du zèle pour l’honneur de sa Compagnie, pour le service, pour les intérêts de ses amis.
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VOISINAGE ALPHABÉTIQUE
- zarzuela, n. f.
- zazou, -oue, n.
- zèbre, n. m.
- zébrer, v. tr.
- zébrule, n. m.
- zébrure, n. f.
- zébu, n. m.
- zedoaire, n. f. [4e édition]
- Z.E.E., n. f.
- zélateur, -trice, n.
- zèle, n. m.
- zélé, -ée, adj.
- zellige, n. m.
- zélote, n.
- zemstvo, n. m.
- zen, n. m. et adj.
- zend, n. m.
- zend-avesta, n. m. [7e édition]
- zénith, n. m.
- zénithal, -ale, adj.