dénombrement

7e édition

DÉNOMBREMENT.

s. m.
■  Compte de personnes. Il ne se dit guère qu’en parlant D’un nombre considérable. Tous les cinq ans on faisait à Rome le dénombrement des citoyens. Homère, dans le second chant de l’Iliade, fait le dénombrement des Grecs qui étaient au siège de Troie.
Il se dit aussi en parlant Des choses. Le dénombrement des vaisseaux qui composaient cette flotte. Dans le dénombrement de ses qualités on a oublié la modestie. L’Ecclésiaste fait le dénombrement de nos illusions.
En terme de Logique, Dénombrement imparfait, Faute de raisonnement qui consiste à tirer une conclusion générale de plusieurs cas examinés, et parmi lesquels on a oublié précisément ceux qui rendent la conclusion fausse.
■ Dénombrement, se disait autrefois de La déclaration détaillée qu’un vassal donnait à son seigneur de tout ce qu’il tenait de lui en fief. Donner un aveu et dénombrement d’une terre. Donner par aveu et dénombrement…
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