bâiller
8e édition
BÂILLER.
v. intr.■
Faire involontairement, et en écartant les mâchoires, une inspiration lente et profonde, suivie d’une expiration plus ou moins prolongée, quelquefois sonore. On bâille souvent en voyant bâiller les autres. Bâiller d’ennui. Bâiller de sommeil. Je bâille en l’entendant parler. On ne sifflait pas, on bâillait à cette pièce.
Il signifie, par analogie, S’entrouvrir, être mal joint. Les ais de cette cloison bâillent. Une porte qui bâille. Une fenêtre qui bâille.
Cette étoffe, cette dentelle bâille, Elle n’est pas assez tendue.
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VOISINAGE ALPHABÉTIQUE
- baignade, n. f.
- baigner, v. tr. et intr.
- baigneur, -euse, n.
- baignoir, n. m. [1re édition]
- baignoire, n. f.
- bail, n. m.
- baile, n. m. [7e édition]
- baille, n. f.
- bâillement, n. m.
- bailler, v. tr.
- bâiller, v. intr.
- baillet, adj. m. [8e édition]
- bailleul, n. m. [7e édition]
- bailleur, bailleresse, n.
- bâilleur, -euse, n.
- bailli, n. m.
- bailliage, n. m.
- bailliager, ère, adj. [8e édition]
- baillive, n. f.
- bâillon, n. m.
HISTOIRE DU MOT
- baailler, v. n. [1re édition] bâiller, v. n. [1re édition]
- baailler, v. n. [2e édition] bâiller, v. n. [2e édition]
- bâiller, v. n. [3e édition]
- bâiller, v. n. [4e édition]
- bâiller, v. n. [5e édition]
- bâiller, v. n. [6e édition]
- bâiller, v. n. [7e édition]
- bâiller, v. intr. [8e édition]
- bâiller, v. intr.