louange
5e édition
LOUANGE.
s. f.■
Éloge, discours par lequel on relève le mérite de quelqu’un, de quelque action, de quelque chose. Grande louange. Louange excessive, louange outrée. Louange fade. Louange grossière. Louange délicate. Mériter des louanges. Cela est digne de louange. Chanter les louanges de Dieu. Publier, célébrer les louanges de quelqu’un. On l’a comblé de louanges. C’est un homme au-dessus des louanges, au-dessus de toutes les louanges qu’on lui donne. Il n’a que faire de vos louanges. Se mettre, s’étendre sur les louanges de quelqu’un. Cela tourne à sa louange. On p. 42peut dire à sa louange que.... Toute la terre retentit des louanges de ce Prince. Louange soit à Dieu.
On dit proverbialement et ironiquement, d’Un discours, d’un écrit où il y a quelque chose de fâcheux, de désagréable pour quelqu’un, que Ce sont des vers à sa louange.
On dit en style familier à un homme qui affecte de s’humilier. Ah ! Monsieur, vos mépris vous servent de louanges. C’est un vers de Boileau devenu proverbe.
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VOISINAGE ALPHABÉTIQUE
- lotissement, n. m.
- lotisseur, -euse, n.
- loto, n. m.
- lotos, n. m. [8e édition]
- lotte, n. f.
- lotus, n. m.
- louable [I], adj.
- louable [II], adj.
- louablement, adv. [7e édition]
- louage, n. m.
- louange, n. f.
- louanger, v. tr.
- louangeur, -euse, adj.
- loubard, n. m.
- louche [I], adj.
- louche [II], n. f.
- louchée, n. f.
- loucher, v. intr.
- loucherie, n. f.
- louchet, n. m.