déprédation
DÉPRÉDATION
nom féminin (le plus souvent au pluriel).Étymologie : xive siècle, au sens 1 ; xviie siècle, au sens 2. Emprunté du bas latin depraedatio, « pillage ».
1.
Pillage accompagné de destructions.
Les déprédations commises par les armées d’invasion.
Pendant la Révolution, cette cathédrale a subi de nombreuses déprédations.
Par extension.
Dommage matériel causé, par malveillance ou négligence, à des propriétés, à des biens.
Un monument, un site abîmé par les déprédations des touristes.
2.
Class.
Malversation commise dans une administration, une gestion publique ou privée.
Mettre fin aux déprédations d’un haut fonctionnaire.
Cicéron a dénoncé les déprédations de Verrès en Sicile.
Déprédation des biens d’une pupille.
Voir aussi
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VOISINAGE ALPHABÉTIQUE
- dépravation, n. f.
- dépraver, v. tr.
- déprécatif, -ive, adj.
- déprécation, n. f.
- déprécatoire, adj.
- dépréciateur, -trice, n.
- dépréciatif, -ive, adj.
- dépréciation, n. f.
- déprécier, v. tr.
- déprédateur, -trice, adj.
- déprédation, n. f.
- dépréder, v. tr. [7e édition]
- déprendre (se), v. pron.
- dépressif, -ive, adj.
- dépression, n. f.
- dépressionnaire, adj.
- dépressurisation, n. f.
- dépressuriser, v. tr.
- déprévenir, v. tr. [5e édition]
- dépri, n. m. [4e édition]