entour
ENTOUR
nom masculinÉtymologie : xe siècle, entorn (adverbe), « tout autour » ; xie siècle, entur, préposition ; xiiie siècle, comme substantif, au sens de « circuit ». Dérivé de tour, au sens de « ligne courbe ».
1.
N. m.
Ce qui entoure ; voisinage, environs.
Au singulier. Rare.
L’entour du village.
▪ Au pluriel. Litt.
Les entours du château.
Les entours de la ville.
Vieilli.
Les entours de quelqu’un, son entourage, ses familiers.
Cet homme est gouverné par ses entours.
Les entours d’une question, tout ce qui s’y rapporte.
Expr. fam.
Savoir bien prendre les entours de quelqu’un, savoir mettre de son côté les personnes qui lui inspirent confiance.
2.
Loc. adv. Vieilli.
À l’entour, aux environs, dans l’espace qui est autour.
Loc. prép. Litt.
À l’entour de, tout autour de ; aux abords de.
Les champs s’étendaient à l’entour de sa propriété.
Les rues à l’entour de la cathédrale.
(On écrit aujourd’hui Alentour.)
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VOISINAGE ALPHABÉTIQUE
- entomostracés, n. m. pl.
- entonner [I], v. tr.
- entonner [II], v. tr.
- entonnoir, n. m.
- entoptique, adj.
- entorse, n. f.
- entortillage, n. m.
- entortillé, -ée, adj.
- entortillement, n. m.
- entortiller, v. tr.
- entour, n. m.
- entourage, n. m.
- entourer, v. tr.
- entourlouper, v. tr.
- entourloupette, n. f.
- entournure, n. f.
- en-tout-cas, n. m. inv.
- entraccorder (s'), v. pron.
- entraccuser (s'), v. pron.
- entracte, n. m.