scriptorium
✻SCRIPTORIUM
Prononciation : (um se prononce ome) nom masculinÉtymologie : xixe siècle. Mot du latin médiéval, de même sens, lui-même dérivé de scribere, « écrire ».
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Au Moyen Âge, atelier de copistes et d’enlumineurs, le plus souvent attaché à un établissement religieux tel qu’un monastère, une collégiale, une église cathédrale ; par métonymie, l’école de copistes et d’enlumineurs travaillant dans cet atelier.
L’un des plus anciens scriptoriums, fondé au vie siècle, est celui de l’abbaye du mont Cassin, près de Naples.
Avec l’essor urbain se développèrent à l’époque romane des scriptoriums royaux ou impériaux, où travaillaient des laïcs.
Charlemagne confia au théologien anglais Alcuin la charge de l’abbaye de Saint-Martin de Tours et de son riche scriptorium.
(On trouve aussi le pluriel Scriptoria.)
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VOISINAGE ALPHABÉTIQUE
- scriban, n. m.
- scribanne, n. f.
- scribe, n. m.
- scribouillard, n. m.
- scribouilleur, n. m.
- script [I], n. m.
- script [II], n. m.
- scripte [I], n.
- scripte [II], n. f.
- scripteur, -trice, n.
- scriptorium, n. m.
- scripturaire, adj.
- scriptural, -ale, adj.
- scrofulaire, n. f.
- scrofulariacées, n. f. pl.
- scrofule, n. f.
- scrofuleux, -euse, adj.
- scrogneugneu, interj. et n. m.
- scrotal, -ale, adj.
- scrotocèle, n. f. [7e édition]