sépulture
SÉPULTURE
nom fémininÉtymologie : xiie siècle. Emprunté du latin sepultura, « derniers devoirs, sépulture » et, en latin chrétien, « tombeau », lui-même tiré de sepultum, supin de sepelire, « ensevelir, inhumer ».
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Inhumation ; cérémonie funéraire au cours de laquelle la dépouille d’un mort est déposée dans une tombe.
Donner une sépulture à quelqu’un.
Être privé de sépulture ou, vieilli, de la sépulture.
Autrefois, l’Église refusait aux comédiens les honneurs de la sépulture.
Les droits (vieilli) ou les frais de sépulture.
▪ Par métonymie.
Le tombeau lui-même, le lieu où l’on enterre le mort.
Violer, profaner une sépulture.
Des sépultures mérovingiennes.
Les pyramides d’Égypte étaient destinées à être les sépultures des rois.
Bravant l’interdit de Créon, Antigone enterra elle-même son frère Polynice pour qu’il ne reste pas sans sépulture.
La basilique de Saint-Denis est la sépulture des rois de France.
Titre célèbre : Morts sans sépulture, de Jean-Paul Sartre (1946).
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VOISINAGE ALPHABÉTIQUE
- septique, adj.
- septuagénaire, adj.
- septuagésime, n. f.
- septum, n. m.
- septuor, n. m.
- septuple, adj.
- septupler, v. tr.
- septuplés, -ées, n. pl.
- sépulcral, -ale, adj.
- sépulcre, n. m.
- sépulture, n. f.
- séquelle, n. f.
- séquençage, n. m.
- séquence, n. f.
- séquencer, v. tr.
- séquenceur, n. m.
- séquentiel, -ielle, adj.
- séquestration, n. f.
- séquestre, n. m.
- séquestré, -ée, n.