tromperie

TROMPERIE

nom féminin
Étymologie : xive siècle. Dérivé de tromper.
■  Action de tromper quelqu’un, de l’induire en erreur, par ruse ou par artifice, afin d’en tirer avantage ; par métonymie, moyen, procédé dont on use à cette fin. Dans le roman médiéval, Renart est un maître dans l’art de la tromperie. Obtenir quelque chose par tromperie. Une impardonnable tromperie.
▪ Spécialement. Marque de domaine : droit. Tromperie sur la marchandise ou, simplement, tromperie, fraude qui porte sur la nature, la qualité ou la quantité de produits vendus, notamment de denrées alimentaires, et, fig., fait de ne pas tenir ce qu’on avait promis.
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