vice
5e édition
VICE.
subst. masc.■
Défaut, imperfection. Vice de nature. Vice de conformation. Ce cheval n’a point de vices. Il y a un vice considérable dans cet acte. Vice de style.
Il signifie aussi Faute, comme dans cette phrase, C’est un vice de Clerc.
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Vice, signifie aussi dans l’homme, Une disposition habituelle au mal ; et en ce sens il est opposé à Vertu. Se plonger dans le vice. Haïr, quitter le vice. Protéger, autoriser le vice. Faire régner le vice. C’est le vice de la Nation. L’ivrognerie est un vilain vice. Ce n’est pas son vice. Il s’est abandonné, livré à toutes sortes de vices. L’ingratitude est un vice du cœur.
On dit proverbialement, Nul sans vice. On dit aussi, Pauvreté n’est pas vice.
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Vice, signifie, dans un sens plus étroit, La débauche, le libertinage. Croupir dans le vice. Veut-il donc mourir dans le vice et dans le désordre ?
On dit d’Un homme qui conserve ses inclinations vicieuses, quoiqu’il ne puisse les satisfaire, Le vice l’a quitté, mais il n’a pas quitté le vice.
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VOISINAGE ALPHABÉTIQUE
- vibrionner, v. intr.
- vibrisse, n. f.
- vibromasseur, n. m.
- vicaire, n. m.
- vicairie, n. f. [7e édition]
- vicarial, -ale, adj.
- vicariance, n. f.
- vicariant, -ante, adj.
- vicariat, n. m.
- vicarier, v. intr. [7e édition]
- vice [I], n. m.
- vice- [II], préf.
- vice-amiral, n. m.
- vice-amirauté, n. f.
- vice-bailli, n. m.
- vice-champion, -ionne, n.
- vice-chancelier, n. m. [7e édition]
- vice-chancelière, n. f. [3e édition]
- vice-consul, -ule, n.
- vice-consulat, n. m.