appointement
6e édition
APPOINTEMENT.
s. m.■
T. de Pratique ancienne. Règlement en justice sur une affaire, pour parvenir à la juger par rapport. Prendre un appointement à l’audience. Prendre un appointement au greffe.
Appointement en droit, Règlement par lequel le juge ordonnait que les parties produiraient par écrit. Appointement à mettre, Règlement par lequel le juge ordonnait que les parties mettraient leurs pièces sur le bureau, pour être jugées sommairement. Dans la Pratique actuelle, on dit, Instruction par écrit, et Délibéré.
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Appointement, signifie aussi, Le salaire annuel attaché à une place, à un emploi, etc. Dans ce sens, il ne se dit qu’au pluriel. On lui donnait, il recevait de gros appointements. Recevoir, toucher ses appointements. Il a mille écus d’appointements. Les appointements d’un gouverneur. De faibles, de minces appointements. D’énormes appointements. Des appointements fort élevés. Augmenter, diminuer, réduire, supprimer des appointements.
Fam., C’est lui qui fournit à l’appointement, aux appointements, se dit D’un homme qui aide à la dépense, à l’entretien, à la subsistance d’un autre qui ne pourrait pas subsister si commodément par lui-même.
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VOISINAGE ALPHABÉTIQUE
- applicable, adj.
- applicage, n. m.
- applicateur, n. m.
- application, n. f.
- applique, n. f.
- appliqué, -ée, adj.
- appliquer, v. tr. et pron.
- appoggiature, n. f.
- appoint, n. m.
- appointé, ée, adj. [5e édition]
- appointement, n. m.
- appointer [I], v. tr.
- appointer [II], v. tr.
- appontage, n. m.
- appontement, n. m.
- apponter, v. intr.
- apport, n. m.
- apporter, v. tr.
- apporteur, n. m.
- apposer, v. tr.