porte-à-faux
PORTE-À-FAUX
nom masculin invariableÉtymologie : xixe siècle. Composé de porte III, de la préposition à et de faux I.
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Marque de domaine : architecture.
Disposition d’un ouvrage ou d’une des ses parties qui se prolonge au-delà de ses appuis, qui est hors d’aplomb ; cet ouvrage lui-même.
Les corniches, les encorbellements, les balcons sont des porte-à-faux.
La tour penchée de Pise offre, par accident, un célèbre exemple de porte-à-faux.
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S’emploie surtout dans la locution adjective et adverbiale En porte-à-faux, hors d’aplomb.
Un mur en porte-à-faux.
Les loges du théâtre sont construites en porte-à-faux.
Fig.
Dans une situation instable, délicate.
Se sentir en porte-à-faux.
Sa décision le place en porte-à-faux par rapport à ses principes, en contradiction avec eux.
(On écrit parfois Porte à faux.)
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VOISINAGE ALPHABÉTIQUE
- portail, n. m.
- portance, n. f.
- portant, -ante, adj. et n.
- portatif, -ive, adj.
- porte [I], n. f.
- porte [II], adj.
- porte- [III], préf.
- porté [I], n. m.
- porté, -ée [II], adj.
- porte-aéronef, n. m.
- porte-à-faux, n. m. inv.
- porte à faux, n. m. inv.
- porte-affiches, n. m. inv.
- porte-aiguille, n. m. inv.
- porte-aiguilles, n. m. inv.
- porte-allumettes, n. m. inv.
- porte-amarre, n. m. inv.
- porte-à-porte, n. m. sing.
- porte-arquebuse, n. m. [7e édition]
- porte-assiette, n. m. [4e édition]