relevé, -ée
✻II. RELEVÉ, RELEVÉE
adjectifÉtymologie : xvie siècle. Participe passé de relever.
1.
Qui est dirigé, orienté vers le haut.
Un chapeau aux bords relevés.
Porter les cheveux relevés.
Marque de domaine : équitation.
Pas relevé, pas du cheval qui lève très haut les pieds.
Air relevé, allure, obtenue par dressage, d’un cheval qui lève très haut les pieds.
La cabriole, la courbette et la pesade sont des airs relevés.
▪
Fig.
Noble, élevé ; qui sort de l’ordinaire.
Avoir des sentiments relevés.
Un style, un langage relevé.
Ces préoccupations ne sont guère relevées.
Un homme de condition relevée (vieilli), qui appartient à la noblesse.
2.
Marque de domaine : cuisine.
Dont le goût est souligné par un assaisonnement, des épices, des condiments.
Un plat relevé.
Une sauce peu relevée.
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VOISINAGE ALPHABÉTIQUE
- relayeur, -euse, n.
- relecture, n. f.
- relégation, n. f.
- reléguer, v. tr.
- relent, n. m.
- relevable, adj.
- relevage, n. m.
- relevailles, n. f. pl.
- relève, n. f.
- relevé [I], n. m.
- relevé, -ée [II], adj.
- relevée, n. f.
- relèvement, n. m.
- relever, v. tr. et intr.
- releveur, -euse, adj. et n.
- reliage, n. m.
- relief, n. m.
- relier, v. tr.
- relieur, -euse, n.
- religieusement, adv.