tout, toute

TOUT, TOUTE

adj. indéf., pr. indéf., adv. et n. (pluriel Tous, toutes pour l’adjectif et le pronom ; Touts pour le nom).
Étymologie : ixe siècle. Issu du latin totus, de même sens.
■  Tout entre dans un très grand nombre de locutions et d’expressions qui, dans la plupart des cas, sont expliquées au mot principal. Tout entre par ailleurs dans la composition de substantifs comme fourre-tout, tout-à-l’égout, va-tout, d’adjectifs comme tout-puissant, d’adverbes comme partout, surtout, toutefois.

I.

I. Adjectif indéfini. Prononciation : (au pluriel, le s de Tous ne se fait pas entendre).
1.  Pour indiquer que l’on considère la totalité d’un ensemble, d’une catégorie par rapport au nombre de ses éléments (en ce sens, s’emploie au pluriel) ou l’intégralité, l’entièreté d’une chose par rapport à son étendue, à son intensité (en ce sens, s’emploie au singulier).
–  Placé avant un nom commun, lui-même souvent précédé d’un autre déterminant (article, adjectif démonstratif ou possessif). Tous les habitants de la ville. Il pleuvra demain sur toutes les régions du Nord. Tous les hommes sont considérés comme égaux devant la loi. Tous les enfants ne sont pas aussi sages que le vôtre, certains le sont, d’autres pas. Courir dans tous les sens, en tous sens. Les obus tombaient de tous les côtés, de tous côtés. Tous les deux ou tous deux, l’un et l’autre (on dit de même Tous les trois ou tous trois, Tous les quatre ou tous quatre, mais au-delà de ce nombre, l’omission de l’article ne se fait plus et on ne dira que Tous les cinq, tous les seize, tous les vingt, etc.). Il nous a raconté en détail tous ces évènements. Ce volume contient toutes ses œuvres. Nous nous sommes opposés à ce projet de toutes nos forces. Il lit des ouvrages de toutes sortes. Litt. Sans article, pour récapituler les diverses choses qui ont été dites, énumérées. Où allait-il, avec qui et pourquoi ? toutes questions qui sont restées sont réponse.
▪  Il a parcouru toute la terre. Il est resté toute une journée à l’attendre. Nous avons fait tout ce chemin pour rien. Toute sa famille est en bonne santé. Je l’espère de tout mon cœur, de tout cœur. Nous lui conservons toute notre estime. Donner tout pouvoir à un mandataire. Agir en toute liberté. En toute franchise, je vous dirai que…
▪ Spécialement. Pour exprimer une fréquence ou un intervalle (au pluriel). Tous les mois, tous les ans. L’Académie française se réunit tous les jeudis. Planter un piquet tous les cinq mètres.
▪ Loc. À tous les échos, dans toutes les directions. À toutes fins utiles ou, class., à toutes fins, pour que cela serve éventuellement. De toutes pièces, entièrement ; à partir de rien. Des accusations forgées de toutes pièces. En toutes lettres, voir Lettre. Une fois pour toutes (elliptiquement), de manière définitive. Tout le temps, sans interruption ; fréquemment. Et tout le reste ou, fam., Et tout le bataclan, Et tout le toutim, formule par laquelle on clôt une énumération. Tout le monde, l’ensemble des personnes concernées ; chacun ou n’importe qui, le premier venu. Tout le monde a voté. Tout le monde peut se tromper. Monsieur Tout-le-monde, l’homme moyen. Tout compte fait, après réflexion. Avoir toute honte bue, être insensible au déshonneur. À toute force, voir Force. De toute beauté, particulièrement beau. De tout repos, voir Repos. En tout bien et tout honneur ou en tout bien tout honneur, sans mauvaises intentions. Sur toute la ligne, voir Ligne. Selon toute probabilité, vraisemblablement. Pour tout…, pour unique, pour seul… Elle avait pour tout bagage son sac à main.
▪ Expr. Rire de toutes ses dents, aux éclats. Écouter de toutes ses oreilles, très attentivement. Ce nom est sur toutes les lèvres, voir Lèvre. Je ne le ferais pas pour tout l’or du monde, rien ne pourrait me déterminer à le faire. C’est tout l’un ou tout l’autre, il faut choisir. C’est tout un programme ! (souvent iron.), se dit d’une annonce qui étonne, qui laisse présager une suite surprenante. N’en faites pas toute une histoire, toute une affaire, ne donnez pas à cela une importance exagérée.
▪ Prov. Toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire. Tous les chemins mènent à Rome, divers moyens conduisent à la même fin.
(Dans certaines locutions, le singulier peut être employé à la place du pluriel pour insister sur chacun des éléments considérés : on écrira par exemple À tous moments ou À tout moment, En tous points ou En tout point, Toutes proportions gardées ou Toute proportion gardée.)
–  Placé avant un nom propre (il reste généralement invariable devant un nom géographique sans article ou un nom de personne employé par métonymie pour désigner les œuvres, la pensée de celle-ci). Il a parcouru toute la France. Il a visité tout Rome. Tout Lyon connaît cette histoire, l’ensemble de ses habitants. Il a lu tout Colette. Il connaît tout Ravel. Devant un titre d’œuvre (il reste invariable au masculin ; au féminin, il s’accorde quand le titre commence par un déterminant et ne constitue pas une phrase). Il a appris par cœur tout « Les Regrets », tout « Bérénice ». Lire toute « La Comédie humaine », toutes « Les Contemplations ». En composition. Le Tout-Paris, l’ensemble des personnalités en vue de Paris.
–  Placé avant un pronom démonstratif. Tout cela est fort inquiétant. Il fait tout ce qui lui plaît. Tout ce que le pays comptait de savants s’était rassemblé. Toutes celles qui sont venues.
▪ Expr. Tout cela est bel et bon, mais…, je veux bien le croire, mais… Fam. Tout ça pour ça, s’emploie pour souligner la disproportion entre les moyens mis en œuvre et le résultat obtenu. Tout ce qu’il y a de, tout ce qu’il y a de plus…, extrêmement. Sa tenue est tout ce qu’il y a de plus ridicule.
▪ Prov. Tout ce qui brille n’est pas or.
–  Se rencontre parfois séparé du nom ou du pronom auquel il se rapporte et prend alors une valeur d’adjectif qualificatif (seulement au singulier). Cette fable, pouvez-vous la redire toute ? Un long manteau la couvrait toute.
▪ Loc. et expr. Être tout à tous, entièrement dévoué au service des autres. Elliptiquement. Somme toute, voir Somme I. « À gauche toute ! », voir Gauche II.
2.  Au singulier. Pour indiquer que l’on considère isolément chaque élément d’un ensemble, d’une catégorie ou que l’on considère n’importe lequel de ces éléments (placé avant le nom sans article). Tout condamné à mort aura la tête tranchée. Toute peine mérite salaire. Une robe que l’on peut porter en toute occasion. Vous pourrez nous joindre à toute heure du jour et de la nuit. Toute autre chose lui conviendrait mieux.
▪ Avec une valeur d’insistance. Cela se passe de tout commentaire. Ce plat est dépourvu de toute saveur.
▪ Loc. et expr. Tout public, convenant à tous les âges. Faire feu de tout bois, voir Feu I. À tout hasard, en prévision d’une éventualité quelconque. À tout propos, à chaque instant, pour n’importe quelle raison (on dit aussi À propos de tout). À toute heure, en tout lieu, toujours et partout. À tout prix, absolument. En tout temps, de tout temps, toujours. De toute façon, de toute manière, quoi qu’il en soit. Contre toute espérance, alors qu’il semblait impossible de l’espérer. Contre toute attente, alors que personne ne le prévoyait. Tout un chacun, n’importe qui.
▪ Expr. proverbiale. À tout péché miséricorde.
▪ Prov. Toute médaille a son revers, chaque chose a un bon et un mauvais côté. À tout seigneur tout honneur, se dit quand on veut honorer quelqu’un, lui donner la préséance.
(Dans certaines locutions, le pluriel peut être employé à la place du singulier pour insister sur l’ensemble des éléments considérés : on écrira par exemple À tout moment ou À tous moments, En tout point ou En tous points, Toute proportion gardée ou Toutes proportions gardées.)

II.

II. Pronom indéfini. Prononciation : (au pluriel, le s de Tous se fait entendre).
1.  Au masculin singulier. Pour désigner l’ensemble de ce que l’on considère, de ce dont on parle, de ce qu’on envisage. Tout est discutable dans ce projet de loi. Tout en lui me séduit. Choisissez ce que vous voulez, tout me va. J’ignorais tout de cette affaire. Le cyclone a tout détruit sur son passage. Cet enfant s’intéresse à tout, est curieux de tout. Avez-vous quelque chose à ajouter ou est-ce tout ? « De quoi est-il capable ? – De tout ! »
▪ Par extension. S’emploie parfois pour désigner l’ensemble des personnes dont on parle, un groupe dans son entier. Femmes, enfants, vieillards, tout fut massacré. Tout fuyait devant lui.
▪ Loc. et expr. À tout rompre, voir Rompre. À tout prendre, après avoir considéré les divers aspects du problème. Un homme à tout faire, qui est capable du pire (vieilli) ; qui est propre à accomplir différents travaux, services. Être au-dessous, en dessous de tout, voir Dessous. À propos de tout, à chaque instant, pour n’importe quelle raison (on dit aussi À tout propos). Avant tout, en priorité. Après tout, dans le fond, au fond. Malgré tout, en dépit des obstacles, quoi qu’on fasse, quoi qu’il arrive. Un point c’est tout ou, fam., et puis c’est tout, se dit pour clore une discussion, imposer son opinion. Pour tout dire, pour exprimer le fond de sa pensée. Tout bien pesé, tout bien considéré, tout bien réfléchi, après mûre réflexion, finalement. Voir tout en noir, tout en rose, faire preuve d’un pessimisme, d’un optimisme exagéré. En tout, au total, sans rien omettre. Cela lui revient en tout à mille euros. En tout et pour tout, pour indiquer qu’un total est peu important. Ils étaient dix en tout et pour tout. Gentil, bête comme tout (fam.), très gentil, très bête. Avoir tout de quelqu’un, de quelque chose, en avoir les traits caractéristiques. Il a tout d’un voyou. C’est tout ou rien, il n’y a pas de compromis possible.
▪ Expr. proverbiales. Quand on est propre à tout, on est propre à rien. Il faut un début, un commencement à tout, il n’est jamais trop tard pour engager quelque action ou pour prendre une bonne habitude. Tout passe, tout casse, tout lasse, rien ne dure éternellement. Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes, formule ironique empruntée au Candide de Voltaire.
▪ Prov. Tout est bien qui finit bien. Tout vient à point qui sait attendre (vieilli) ou Tout vient à point à qui sait attendre, avec du temps et de la patience, on vient à bout de chaque obstacle.
2.  Au pluriel. Pour désigner l’ensemble des êtres, des choses que l’on considère, dont on parle, que l’on envisage. Il fut fêté par ses concitoyens, tous vinrent au-devant de lui. Le froid a été funeste pour ces plantes, toutes ont gelé. Il a parlé à tous, avec tous sans exception. Ils étaient presque tous blessés. Les journées se passèrent toutes ainsi. Vous pouvez tous les garder, les garder tous. À nous tous, nous le convaincrons. Eux tous. Elles toutes.
▪ Loc. À la portée de tous, se dit de ce qui est simple à saisir, à comprendre. Aux yeux de tous, pour les personnes présentes et, par extension, pour l’opinion publique. Aux yeux de tous, il était coupable. Tous tant, tous autant que nous sommes, l’ensemble que nous formons. « Tous pour un et un pour tous », devise des trois mousquetaires.
▪ Prov. Chacun pour soi et Dieu pour tous.

III.

III. Adverbe.
1.  Pour marquer le caractère complet, total de quelque chose ou pour marquer le haut degré.
–  Placé avant un adjectif, un nom employé adjectivement ou une locution adjectivale (bien qu’étant adverbe, Tout s’accorde lorsqu’il précède un adjectif ou un nom féminin commençant par une consonne ou un h aspiré ; devant une locution adjectivale, l’usage hésite). Il est tout mouillé, ils sont tout mouillés, mais Elle est toute mouillée, elles sont toutes mouillées. Ils ont été reçus parmi les tout premiers, mais Elle est la toute première sur la liste. Elle en est toute honteuse, mais Elle resta tout hébétée. Il a mangé la galette tout entière. Lorsque nous étions tout gamins, toutes gamines. Le ciel est tout gris. Il ne savait quoi dire, tout ému qu’il était. Le voilà tout seul. C’est une tout autre chose ou une chose tout autre, c’est tout autre chose que vous me racontez là. Des chemins tout en sinuosités. Elle était tout de noir vêtue ou toute de noir vêtue. Un arbuste tout en fleurs. Un costume tout en soie ou, elliptiquement, tout soie. Elle était tout à son ouvrage ou toute à son ouvrage.
▪ Loc. et expr. De tout premier plan, de tout premier choix, de très grande importance, de très grande qualité. Fam. Un tout petit peu, très légèrement ; très peu. Un tout petit peu de, une très petite quantité de. Tout plein, très. Il est mignon tout plein. Tout plein de, beaucoup de. Elle a tout plein de qualités. Tout craché, voir Craché. C’est tout juste si, c’est à peine si. C’est tout vu, il est inutile de tergiverser. C’est du tout cuit, la réussite est assurée.
▪ Prov. Tout nouveau, tout beau, la nouveauté est appréciée puis vite délaissée.
–  Placé avant un adverbe, un adjectif employé adverbialement ou une locution adverbiale (souvent avec une valeur intensive). Parler tout doucement, tout bas. Cela vous sera utile, tout particulièrement en ce moment. Ce serait tout aussi rapide de prendre la nationale. Aller tout droit. Je vous le dis tout net. Il s’est placé tout contre le mur, tout à côté de nous, tout en haut de l’amphithéâtre. Regarder tout autour de soi. Il l’a reconnu tout au début, tout à la fin de la soirée (on trouve aussi les formes Au tout début, À la toute fin).
▪ Loc. et expr. Tout beau, Tout doux, voir Beau, Doux. Tout court, sans rien ajouter de plus. Il m’a dit non, tout court. Tout le long, Tout au long, Tout du long, voir Long. Tout de suite, immédiatement, sur-le-champ. Se quitter pour tout de bon (fam.), définitivement. Tout de même, voir Même. Tout d’un coup, en une seule fois. Tout à coup, soudainement. Tout à fait, entièrement. Tout à l’heure, voir Heure. Tout au plus, voir Plus. Tout au contraire, à l’inverse, à l’opposé. Tout d’une pièce, d’un seul tenant, d’un seul bloc. À tout jamais, voir Jamais. C’est tout comme (fam.), le résultat est le même. Être tout en jambes, avoir les jambes très longues. Tout à vous, formule de politesse signifiant qu’on est à la disposition de quelqu’un (dans cette expression, Tout reste invariable si le locuteur est une femme).
–  Placé avant un nom sans déterminant. Elle est tout indulgence, tout pardon. Devant un nom féminin singulier qui commence par une consonne ou un h aspiré, Tout s’accorde généralement en genre avec celui-ci, sauf dans les locutions et expressions que l’on considère comme figées. Il est toute joie, toute honte. Elles sont toute fureur.
▪ Expr. Être tout sourire. Être tout ouïe, tout oreilles, être disposé à écouter quelqu’un attentivement. Être tout feu tout flamme, empli d’ardeur pour une cause. Être tout sucre et tout miel ou tout sucre tout miel, voir Miel.
▪ Spécialement. Précédé d’un article pour indiquer l’usage d’une chose à l’exclusion des autres. Le tout nucléaire. Le tout numérique.
–  Pour renforcer le complément du présentatif C’est. C’est tout Georges, c’est tout lui, c’est bien dans ses habitudes.
–  Dans le tour à valeur concessive Tout… que, suivi d’un adjectif ou d’un nom (devant un adjectif ou un nom féminin qui commence par une consonne ou un h aspiré, Tout s’accorde en genre et en nombre avec le nom ou le pronom auquel il se rapporte). Tout sage qu’il est ou qu’il soit. Tout pressés qu’ils soient, ils pourraient nous saluer. Tout savant qu’il est, il a fait quelques erreurs. Tout ingrate, toute timide qu’elle est. Toutes raisonnables qu’elles soient, elles devront rester ici. Toute princesse qu’elle est, elle est malheureuse.
2.  Placé avant un gérondif. Pour souligner la simultanéité de deux actions. Tout en marchant, elle réfléchissait. Parfois avec une valeur concessive. Tout en l’approuvant, il lui en voulait.

IV.

IV. Nom masculin.
1.  L’ensemble, la somme des parties d’une chose divisible ; ce que l’on considère en son entier, totalité. Séparer un tout en plusieurs parties. Plusieurs touts distincts. Je ne veux pas vendre cela au détail, prenez le tout si vous voulez. Il vous cèdera le tout. Ces quatre romans forment un tout, un tout cohérent. Il pourrait perdre, dans cette affaire, tout ou partie de sa fortune.
▪ Spécialement. Dans une charade, le mot qu’il faut trouver, formé de l’ensemble des syllabes qui ont été précédemment devinées. Mon premier est un animal, mon second le contraire de « tard » et mon tout un outil de jardin.
▪ S’emploie dans une énumération de plusieurs éléments, pour désigner leur addition. Il a acheté deux fauteuils, un tapis et une malle, le tout pour mille euros. Il a fait telle et telle chose, le tout pour parvenir à son but, le tout sans m’en parler.
▪ Loc. et expr. Pas du tout ou, elliptiquement, du tout, absolument pas. Il ne la connaît pas du tout. Il ne veut rien du tout. « Vous y croyez ? – Du tout ! » Juger du tout par la partie, prendre la partie pour le tout, ne pas considérer suffisamment tous les aspects d’une situation. Pour couronner le tout, s’emploie ironiquement pour introduire un dernier élément qui surpasse tous les autres. Du tout au tout, complètement. Changer du tout au tout. Il y a une différence du tout au tout, une différence radicale. Risquer, jouer, tenter le tout pour le tout, tenter sa dernière chance.
▪ Marque de domaine : héraldique. Sur le tout, se dit d’un écusson quand il est posé sur les différents quartiers de l’écu. Il porte écartelé de… et de…, et sur le tout d’azur aux trois fleurs de lis d’or. Brochant sur le tout, se dit en parlant d’une pièce de l’écu qui apparaît entièrement sur les autres pièces. Il portait semé de France au bâton de gueules brochant sur le tout. Fig. et iron. Il est sot, paresseux et, brochant sur le tout, prétentieux.
2.  Ce qu’il y a d’essentiel, de plus important. C’est quelque chose de bien commencer, mais le tout est de bien finir. Le tout sera de respecter les délais.
▪ Par extension. Vieilli. La personne ou la chose qui compte le plus pour quelqu’un. Il n’a d’yeux que pour sa fille, il en fait son tout.
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